Lenteur du soleil d’or
Image du blog Herald Dick Magazine
Soleil installé dans les airs,
Soleil ami du vent sauvage,
Tu as fait mourir notre herbage ;
Mais notre coeur n’est pas amer.
Soleil, sans toi, la nuit est douce,
Chacun y prend son réconfort ;
Le lendemain, tes rayons forts
Font périr, en forêt, la mousse.
Mais il ne faut pas t’arrêter
À notre plainte, assez modeste :
Tu n’es pas un astre funeste,
Ce n’est pas toi qui fais l’été.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/nuits
ainsi que
http://heraldie.blogspot.fr/2015/07/lenteur-du-soleil-dor.html
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Automne proche
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Chevaux du soleil,
Déjà vous êtes moins forts :
L’été se termine.
Pierrette en Héraldie
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