Roses, serpent et monstre
Composition de Cochonfucius
Au sommet du ciel d’or, de gueules sont trois roses ;
Ces trois jeunes beautés tout le jour s’y reposent,
Tu dois aller les voir, tant que c’est le printemps,
Cette douce saison ne durera plus tant.
La douceur prendra fin, viendra la canicule,
Le météorologue aisément la calcule ;
Au pays de sinople est un serpent d’argent,
Il est inoffensif, soyons-lui indulgents.
D’or aussi l’inframonde, où vit un monstre hybride,
Il a trois cent mille ans et pas même une ride ;
Et, d’année en année, son coeur devient plus pur,
Je l’entends palpiter dans son grand corps d’azur.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/les-petits-justes
ainsi que
http://heraldie.blogspot.fr/2015/05/roses-serpent-et-monstre.html
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