Ce jour-ci
Mes mots de feuille en feuille
Vont fêter la Saint-Jean ;
Les forums les accueillent
Et puis les blogs des gens.
Ma plume a couru, vive,
Sur le beau papier blanc ;
Elle n’est point captive,
Elle a des mots galants.
Sans se prendre la tête,
Sans un regard méchant,
Elle a le coeur en fête
Un peu par tous les temps.
Et tout ce qui la branche,
Elle le lance au vent ;
Quand le lecteur s’y penche,
Il en sourit souvent.
Le soir, au soleil rouge,
On peut la voir dansant
Avec tous ceux qui bougent,
Avec tous les passants.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/chevre-feuille
ainsi que
https://paysdepoesie.wordpress.com/2014/06/05/plume-inlassable/
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Pingback: Ce jour-ci – Héraldie, seconde fondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Poésie)
Par curiosité, j’ai demandé à Chat-gtp son avis sur ton poème le voici :
”Ce poème mélancolique évoque une scène de calme et de tranquillité à travers une description de la nature et de son environnement. La feuille grise abandonnée semble symboliser une histoire d’amour inachevée et la qui en tristesse.
Le narrateur observe la scène qui l’entoure et décrit un paysage immobile et silencieux, le jour étant sans surprises. Il note que la nuit est proche et que la fraîcheur de la brise annonce son arrivée imminente.
Le son des cloches au loin rappelle la vie qui continue dans le monde extérieur, mais le narrateur suggère que dans sa propre vie, rien ne s’est passé dans sa vieille demeure. Les morts au cimetière sont évoqués, traduisent la notion de la mort et de la séparation éternelle.
En somme, ce poème évoque la solitude, la nostalgie, la mort et la séparation, tout en offrant une vision contemplative et poétique de la nature.”
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En fait je parle du dernier Octefeuille de sable
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J’existe, mais c’est dans tes rêves,
Je veille sur toi quand tu dors ;
Je n’ai pas d’âge ni de corps,
Toujours mes paroles sont brèves.
Je disparais quand tu te lèves,
Je n’aime pas le soleil d’or ;
J’aime les nuits du Pôle Nord,
Quel bonheur, ces six mois de trêve !
Moi qui sais, sans rien espérer,
Dans mes projets persévérer,
Je t’épargne quelques problèmes.
Humain, rien ne sert de courir,
Ni d’à tes savoirs recourir ;
Mais regarde bien en toi-même.
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Voir
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C’est troublant . . Que même les blasonneux n’ont rien vu venir . . Cette page a été likée par la guerrière . .Où est-elle ? Déjà que le génie est parti chez les morts . . Quel grand mystère . . Tant de questions pour nos cerveaux si peu utilisés . .
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c’est obscur, pour moi aussi…
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