Couplet de Diraralei

bateau-par-Sophie-Moaji

Toile de Sophie Moaji

The drifter, on departing from Botel Tobago (蘭嶼), sang this sad song in French.

Diraralei, porte-toi bien,

Que tes femmes
soient toujours belles ;

Et si dans ton église il vient

Un missionnaire sans cervelle,

Qu’il ferme un peu les yeux,

Qu’il fredonne,

Ce village est un lieu

Qui pardonne

Cochonfucius remarked: “If the priest actually knew what was to be forgiven here, he would perhaps have found it advisable to have nothing to do with it. Priests are better at telling parables”.

Le gyrovague, à l’issue d’un séjour à Botel Tobago (蘭嶼), composa ce triste couplet.

Diraralei, oh, fare thee well,

May the ladies
always be nice,

And if, into thy church, there comes

Any brainless missionary,

Let him close his eyes for a while,

Let him hum a tune:

This village is a place

Of mercy.

Cochonfucius fit la remarque suivante : « Si le religieux avait connu le détail de ce qui pouvait donner lieu à un pardon, il aurait sans doute préféré ne pas se prononcer. Ces gens sont plus à l’aise lorsqu’ils disent des paraboles ».