Couplet de Diraralei
The drifter, on departing from Botel Tobago (蘭嶼), sang this sad song in French.
Diraralei, porte-toi bien,
Que tes femmes
soient toujours belles ;
Et si dans ton église il vient
Un missionnaire sans cervelle,
Qu’il ferme un peu les yeux,
Qu’il fredonne,
Ce village est un lieu
Qui pardonne
Cochonfucius remarked: “If the priest actually knew what was to be forgiven here, he would perhaps have found it advisable to have nothing to do with it. Priests are better at telling parables”.
Le gyrovague, à l’issue d’un séjour à Botel Tobago (蘭嶼), composa ce triste couplet.
Diraralei, oh, fare thee well,
May the ladies
always be nice,
And if, into thy church, there comes
Any brainless missionary,
Let him close his eyes for a while,
Let him hum a tune:
This village is a place
Of mercy.
Cochonfucius fit la remarque suivante : « Si le religieux avait connu le détail de ce qui pouvait donner lieu à un pardon, il aurait sans doute préféré ne pas se prononcer. Ces gens sont plus à l’aise lorsqu’ils disent des paraboles ».
Voir
http://www.google.fr/search?q=Diraralei+Cochonfucius
ainsi que
http://images.google.fr/images?q=朗島部落
sans oublier
https://paysdepoesie.wordpress.com/2014/12/13/1975-2014/
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