Robert de comptoir
Robert se promenait en poursuivant un ange,
Sans vouloir le saisir (tu dis que c’est étrange ?)
Heureux fut-il, voyant les deux ailes s’ouvrir,
Dans un sombre quartier qu’on lui fit découvrir.
Robert se satisfit d’un repas fort léger,
Il aurait pu, tel l’ange, exister sans manger,
Mais, sa chair n’étant pas un noble corps de gloire,
Robert, c’est entendu, ne marche pas sans boire.
Robert à ses lecteurs apporte son amour
Sous forme de chansons qu’on chante chaque jour.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/je-suis-passe-dans-une-rue-etrange
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Le comptoir et la salle
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Comptoirs de jadis
Dans les longs étés tranquilles,
Petits parlements.
Pierrette en Héraldie
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