Oiseau facteur

by Cochonfucius

Je porte le courrier de la reine Adeline,Je suis un messager, je suis un bel oiseau ;Je vois à l’horizon le soleil qui décline,Dans la douceur du soir je plane sur les eaux.… Continue reading →

Poisson de banlieue

by Cochonfucius

  Sages sont tes propos, poisson de Palaiseau,Ton modeste silence est une panacée ;Tu ne t’attardes point aux fables des roseaux,Eux dont Blaise Pascal célébrait la pensée. Tu es indifférent aux pannes de… Continue reading →

Sagesse de Panurge

by Cochonfucius

Panurge dit souvent des choses ridicules,Mais il sut autrefois rendre sage un oiseau ;Ce volatile apprit à tresser des roseauxPour bâtir près du fleuve une grande cellule. Il instruisit aussi la Dame LibelluleDans… Continue reading →

Maison du gardien de la Tour de Pise

by Cochonfucius

Le portier de ces lieux est venu des collinesDont le peuple comprend la langue des oiseaux ;Il dispose des clés de la Tour qui s’incline,De l’antique charpente il connaît le réseau. Le toit… Continue reading →

Serpent fort en thème

by Cochonfucius

Le serpent fut expert en citations latines, C’est un noble chercheur, un intellectuel ; Il promet aux humains le pain spirituel, C’est le fruit du pommier, plus doux que l’églantine. C’est l’aliment divin,… Continue reading →

Hibou délicat

by Cochonfucius

Le blanc hibou de Palaiseau Mange les rats, mais pas les os : C’est au caniveau qu’il les jette, Qu’ils soient emportés par les eaux.

Oiseau-Cosmos

by Cochonfucius

Composition de Cochonfucius Si vous descendez à Massy-Verrières (Et c’est juste avant Massy-Palaiseau), Vous accéderez à une clairière Et découvrirez un étrange oiseau. Gigantesque, il vit au plateau désert ; De l’isolement, son… Continue reading →

Blasonnement incertain

by Cochonfucius

L’écu est de sinople à un drôle d’oiseau Dont le chef, cependant, n’est pas reconnaissable ; Le volatile est d’or et ses ailes de sable, Je ne sais pas si c’est un pluvian… Continue reading →

Pantoum chargé d’hommages

by Cochonfucius

Toile de Svetlana Valueva Tu me connais mal, une ardeur me brûle ; Tout juste s’il ne me scie pas les os : Le désir s’accroît, l’effet se recule, Je vole très haut, loin de… Continue reading →