La vestale et les monstres
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La vestale demeure
En un temple étouffant,
Où, souvent, elle pleure
Comme font les enfants.
Elle fut jeune fille,
Favorite du roi ;
Telles amours ne brillent
Pas plus que quelques mois.
Tous les monstres l’encensent,
Elle en a des frissons ;
Elle craint leur puissance,
Ils craignent sa chanson.
Voir
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=hugo/en-ecoutant-chanter-la-princesse-
ainsi que
http://heraldie.blogspot.fr/2016/07/la-vestale-et-les-monstres.html
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La vestale et le coq
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Vestale et coq en leur palais,
Ils ont trinqué, comme il fallait,
En se remémorant les mots
Du romantique Alphonse Allais.
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