Grande lune de gueules
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De deux choses, c’est lune, et l’autre est le soleil ,
Ainsi chanta Prévert, quand la nuit fut de sable,
Éternel jouvenceau, vieillard irresponsable :
Pavée de cauchemars est la Voie de l’Éveil.
Sans muscles va le fleuve, et vois comme il est fort !
Et sans savoir nager, à la mer il se jette,
Nullement n’est son âme aux noyades sujette,
C’est en s’évaporant qu’il rencontre la mort.
Oh ! que rouge est la lune, et mon coeur, si bavard !
Ainsi que le grand fleuve absorbe la rivière,
Ce site est un abri pour ma langue vulgaire :
J’y vis, comme un piéton qui suit le boulevard.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/suite-2
ainsi que
http://heraldie.blogspot.fr/2016/05/grande-lune-de-gueules.html
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Planète Boule de Neige
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Jamais d’argile ni de sable,
Mais de la neige impérissable ;
J’admire la blanche planète
À la splendeur indépassable.
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Pingback: Grande lune de gueules – Héraldie, seconde fondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Poésie)
Lune de mars
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« Ce mois porte un nom de planète »,
Me dit une bergeronnette ;
Foi de lune, je veux le croire,
Ça vient d’un volatile honnête.
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