À cor et à cri
Composition de Cochonfucius
—
Un cor au fin fond des montagnes
Dit la mort de Roland ;
Lui répondit, dans la campagne,
Un autre cor, plus lent.
Dit la mort de Roland ;
Lui répondit, dans la campagne,
Un autre cor, plus lent.
–Te moques-tu de ma souffrance,
Vieux cor de paysan ?
— Non, je suis un berger de France,
Un homme peu causant ;
Vieux cor de paysan ?
— Non, je suis un berger de France,
Un homme peu causant ;
Je veux juste apaiser ton âme,
Soldat de l’empereur :
Elle n’ira point dans les flammes
Dont tu as la terreur.
Soldat de l’empereur :
Elle n’ira point dans les flammes
Dont tu as la terreur.
— Comment sais-tu pareille chose,
Paysan du terroir ?
Entends-tu le démon qui cause,
As-tu un noir miroir ?
Paysan du terroir ?
Entends-tu le démon qui cause,
As-tu un noir miroir ?
— Comte Roland, seigneur des plaines,
Tu es un innocent ;
Elle n’est point, l’eau des fontaines,
Plus pure que ton sang.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/le-mystere-des-trois-cors
ainsi que
http://heraldie.blogspot.fr/2015/03/a-cor-et-cri.html
et aussi
http://nouvelleheraldie.blogspot.fr/2016/09/a-cor-et-cri.html
sans oublier
https://paysdepoesie.wordpress.com/?s=Roncevaux
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Le guerrier de l’Amour est né
La Bataille est flèche et cible
Bouclier de roses et cheval invincible
Traverse le fleuve dans un mouvement ailé
Rejoint le firmament et s’abreuve là-haut
De nues en nues laissant la fraîcheur l’emplir
La force du secret vient que le guerrier est prêt à mourir
Ce vaillant plie le genou, expire et se redresse de nouveau
La Bataille est achevée en ce refuge du Jardin Magnifié
Un lotus en limite l’accès et le rêve est douceur unifiée
Dans la Roseraie, effluve d’Amour, comme force de l’Épée.
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Pingback: À cor et à cri – Héraldie, seconde fondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Poésie)
Relecture épique
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Chanson de Roland
Dont j’avale plusieurs pages,
Longue nuit d’hiver.
Pierrette en Héraldie
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