Cellule de méditation
Composition de Cochonfucius
Baudelaire investit la loge intemporelle,
La confortable bulle où peut dormir son art ;
Mais il a trop vécu, pour son coeur, c’est trop tard,
Il ressent ses malheurs de façon corporelle.
Un poète peut-il devenir un ermite ?
Dans son silence auront à parler plusieurs voix,
Ou chacune à son tour, ou toutes à la fois :
Alors la solitude exhibe ses limites
J’ai du mal avec ton pseudo, Cochonfucius, c’est à dire qu’il m’évoque un personnage un peu grossier alors que tu déploies dans tes poésies tout le contraire, j’en reste bien souvent sur le cul, comme pour celle-là. L’habit ne fait pas le moine, pas plus qu’il ne fait l’ermite, ni le poète. Merci de me faire partager tes trouvailles.
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Le pseudo est ancien.
J’ai rajeuni depuis ce temps.
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Pourtant, avec ta remarque je prends un sérieux un coup de vieux.
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Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/la-chambre-double
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=baudelaire/la-chambre-double
et aussi
http://heraldie.blogspot.fr/2015/01/cellule-de-meditation.html
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La poésie remède anti-âge.
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Je reviens sur celui-là. Quand on compose un poème ou quand on écrit, c’est pour ressentir une présence, un peu comme si quelqu’un ou quelques-uns étaient là, à côté de nous à nous parler, c’est ça aussi qu’on recherche quand on en lit, on espère que ça va nous parler, et celui-là me parle.
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