Quatorze blasons
Composition de Cochonfucius
D’argent à un fouillis de végétaux de sable ;
D’or à deux régiments de licornes d’azur ;
De sinople à deux trolls assis au pied d’un mur ;
D’hermine à un archange à peu près vénérable.
D’azur à un pluvian au chant inimitable ;
De sable à un manchot roulant pour Balladur ;
De brique à deux savants dont l’un s’appelle Arthur ;
De plomb à deux seigneurs jouant cartes sur table.
De laine à un sonnet de facture incertaine ;
De neige à cent corbeaux qui parcourent la plaine ;
De cuivre à trois chercheurs qui traquent les bosons.
D’ivoire à un tercet qui scrute l’héraldique ;
De marbre à un seul vers dodécasyllabique ;
De papier, à un fou qui apprend le blason.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/la-tulipe
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=gautier/la-tulipe
et aussi
http://fadosi.over-blog.com/article-quatorze-blasons-de-cochonfucius-124786030.html
sans oublier
http://heraldiqueblog.wordpress.com/
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Blasons d’illustres inconnus
————–
Fin du moi de mai,
Je contemple un armorial
Que je trouve étrange.
Pierrette en Héraldie
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De cornes et de laine
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Je suis le vicomte Bélier,
Seigneur d’un parc animalier ;
C’est un fief que je veux transmettre
Au bel oiseau du gadelier.
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