Barthélemy de l’Atlantique
Toile de Giorgio de Chirico
Le puisatier construit une maison dans l’île
Qui est la lettre « A » ; puis survient Vendredi,
Qui de la construction les angles arrondit.
La maison s’agrandit, par étapes subtiles,
Et ses deux habitants y sont un peu perdus.
Le rêveur Philémon, dans un puits descendu,
Miraculeusement emprunte un long passage ;
Ce n’est donc pas en vain qu’il reçut des messages.
La suite de l’histoire emplit trente volumes
Que m’a dédicacés la licorne de brume.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/lueurs-des-tirs-ocean-de-terre
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=apollinaire/ocean-de-terre
et aussi
http://tigerloaf.wordpress.com/2009/10/09/ocean-de-terre/
et encore
https://paysdepoesie.wordpress.com/2014/10/23/chez-le-puisatier/
sans oublier
http://www.lesmotsenfolie.forumactif.com/t2800-in-vino-veritas#16827
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Puits de Newton
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Près d’un puits, Newton s’endormit
Et se rêva Barthélémy
(Le puisatier de l’Atlantique) ;
De n’en rien dire, il a promis.
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Suivre le puisatier
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Nous irons après le repas
Sur l’île qui n’existe pas,
Sur le grand A de l’Atlantique,
Où Philémon fit quelques pas.
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