Arvers (le feuilleton)
Toile de Darwin Leon
Fréchette est marchand de mystère,
Ses modèles sont bien conçus :
Et (je ne vais point vous le taire)
Je pense l’avoir toujours su.
Loin de passer inaperçu,
Il brille comme un solitaire ;
Rares les citoyens sur terre
Qui mieux que lui seraient reçus !
S’il veut qu’avec lui l’on soit tendre,
Il lui suffit de faire entendre
La lyre accompagnant ses pas.
En devenant sa mie fidèle,
La muse veut qu’il ait tout d’elle,
Même ce qu’elle ne sait pas.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/sonnet-darvers
et
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=arvers/mon-ame-a-son-secret-ma-vie-a-son-mystere
ainsi que
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/reponse-au-sonnet-d%E2%80%99arvers
sans oublier
https://paysdepoesie.wordpress.com/2013/12/28/autre-reponse-aux-vers-darvers/
et voir également
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/variations-sur-le-meme-sujet
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