Banville voit une coupe
Toile de Edvard Munch
Mallarmé, magicien du vers,
Tant pour la rime que la coupe ;
Tes admirateurs, une troupe
D’un peu partout dans l’univers.
Tu chantes des sujets divers,
La nef à l’imposante poupe
Et l’horizon qui se découpe,
Les noirs corbeaux dans les hivers ;
Quiconque à te lire s’engage
Se trouve pris dans le tangage
Et le roulis ; point de salut.
Mais remercie ta bonne étoile :
Ton écriture te valut
De figurer sur cette Toile.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/la-coupe-4
ainsi que
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/salut
et aussi
http://lasilure.over-blog.com/article-traduction-antonymique-80031221.html
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