Chanter

dimey

Toi qui aimais chanter un peu loin du troupeau,
Parfois pour toi tout seul, parfois pour ta Juliette,
Bernard, gargantuesque et merveilleux poète,
Je sais que tu avais tes chansons dans la peau.

Je répète après toi tes mots d’enfant perdu,
Je reprends tes refrains, tes rimes et tes causes,
Car pour moi ton travail, tu sais, c’est quelque chose !
Je pense à toi, Bernard, et je te dis : « Salut ! ».


L’héritier de Dimey, c’est Bernard Lavilliers !

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