Nul corps pouvant bouger n’est une cathédrale
Peinture Tangkha
Tu ne vois de ta vie la période initiale ;
Si tu l’apercevais, confus serait le trait
Qui, provenant d’un point, aurait été extrait
D’un brouillard qu’agitaient les forces primordiales.
Tu trouves la structure assez paradoxale ;
Or, ainsi en va-t-il dans le monde concret,
Si la vie était simple, alors, ça se saurait,
Nul corps pouvant bouger n’est une cathédrale.
Tu vois que la pulsion oscille en amplitude,
En effet, pourquoi pas, c’est, même, une habitude ;
Le coeur peut s’affoler sous un coup d’aiguillon.
A long terme il se peut que l’effet s’amortisse,
Tel le souffle du ver qui toujours sa mort tisse,
Sa mort, ou le cocon d’où sort un papillon.
Voir
http://chat-poete.blogspot.fr/2011/04/si-nous-pouvions-remonter-assez-loin.html
et aussi
http://tinyurl.com/ou6ulct
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